
En 2020, la cour d'appel d'Angers (ouest) avait refusé d'exécuter le mandat d'arrêt européen délivré par Rome, au motif que la peine principale à laquelle Vincenzo Vecchi a été condamné, dix ans de prison pour "dévastation et pillage", n'avait pas d'équivalent en France. La Cour de justice de l'Union européenne a estimé en juillet dernier que la France ne pouvait s'opposer à cette extradition.