"Cette réforme vise à reconnaître officiellement les animaux comme des ''êtres vivants doués de sensibilité'' et non plus comme des ''biens meubles'', indique le groupe politique, citant Gandhi : "On reconnaît le degré de civilisation d'un peuple à la manière dont il traite ses animaux." Pour l'Avenir en confiance, "notre territoire n'est pas un exemple à suivre dans le domaine du bien-être animal". Et cette proposition de loi, "attendue par les associations de protection", permettra de "créer les conditions favorables à l'amélioration de la condition animale". Si elle est adoptée, le statut juridique de l'animal sera modifié dans le code civil, comme cela a été fait en Métropole en 2015.
Pour rappel, le gouvernement a également déposé un projet de loi du pays [1] au Congrès. Objectifs : créer une identification pour les animaux domestiques et encadrer leur élevage, leur vente et leur cession.