
La Turquie, qui bloque depuis mai l'entrée de la Suède et de la Finlande dans l'Otan, a des exigences que la Suède ne peut ni ne veut atteindre, a dit dimanche le Premier ministre suédois.
"La Turquie confirme aussi bien que nous avons fait ce que nous avions dit que nous ferions, mais elle dit aussi qu'elle veut des choses que nous ne pouvons et ne voulons pas lui donner", a affirmé Ulf Kristersson évoquant le processus d'adhésion de son pays à l'Alliance atlantique lors d'une conférence sur la défense et la sécurité en présence du secrétaire-général de l'Otan, Jens Stoltenberg.