
Le président érythréen Issaias Afeworki a rejeté jeudi les accusations de violations des droits de l'Homme par son armée dans la région éthiopienne du Tigré, les qualifiant de "chimère".
"Il y a une chimère dans les esprits de ceux qui participent à (...) ce que j'appelle une entreprise de fabrication de la désinformation", a-t-il déclaré à des journalistes lors d'une visite au Kenya, sans répondre davantage aux questions sur la présence militaire érythréenne en Ethiopie.