L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a confirmé jeudi avoir détecté en Iran des particules d'uranium enrichi à 83,7%, soit juste en deçà des 90% nécessaires pour produire une bombe atomique, selon un rapport consulté mardi par l'AFP.
"Les discussions sont toujours en cours" pour déterminer l'origine de ces particules, a précisé l'instance onusienne, qui confirme ainsi des informations données par des sources diplomatiques. Téhéran a de son côté fait état "de fluctuations involontaires" au cours du processus d'enrichissement.