Sa porte-parole Karine Jean-Pierre a jugé dans un communiqué que ce "mauvais" projet, qui interdirait l'interruption volontaire de grossesse après six semaines, aurait un impact direct sur 4 millions de femmes en Floride et indirect sur 15 millions de femmes vivant dans des Etats voisins ayant déjà supprimé ou fortement restreint le droit à l'avortement.