"Cela ressemble beaucoup à Maïdan à Kiev", a estimé à la télévision russe Sergueï Lavrov. Il a jugé que le projet de loi géorgien sur les "agents de l’étranger", modelé sur un texte russe et à l'origine d'une vague de manifestations, était un "prétexte pour lancer une tentative de changement de régime par la force".