
L'ancien Premier ministre pakistanais Imran Khan a affirmé mercredi que le mandat d'arrêt contre lui était un complot ourdi par le gouvernement pour l'empêcher de participer aux élections prévues dans le courant de l'année.
"La raison (de cette procédure) n'est pas que j'ai enfreint une loi. Ils me veulent en prison pour que je ne puisse pas participer aux élections", a-t-il déclaré à l'AFP après que la police a échoué pour la seconde fois à l'arrêter à son doomicile.