La France a accusé vendredi Damas de violer la trêve en Syrie par des bombardements aériens sur des civils, et de saper les efforts de la communauté internationale pour une solution politique, dans une déclaration du porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
L'attaque le 31 mars dans la banlieue de Damas, "qui a visé délibérément des civils, montre que le régime poursuit ses exactions et viole la trêve", a déclaré le porte-parole, Romain Nadal. "Cet acte abject vise à terroriser le peuple syrien et à saper les efforts de la communauté internationale en faveur d'une solution politique", a-t-il souligné.