
Le Front de libération nationale (FLN), parti du président algérien Abdelaziz Bouteflika, a affirmé mercredi soutenir le mouvement actuel de contestation et le "changement" qu'il réclame, tout en prônant le "dialogue" initié par le chef de l'Etat pour sortir l'Algérie de la crise.
Mouad Bouchareb, le patron du FLN, a souligné par ailleurs que le gouvernement "n'était pas entre les mains du parti", tentant de dissocier le régime de sa formation, ancien parti unique et au pouvoir depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962.