Deux des principales figures du mouvement ("Hirak") de contestation en Algérie vont bénéficier prochainement d'une grâce présidentielle, et être libérés, a annoncé mardi à l'AFP Sofiane Djilali, chef d'un parti d'opposition, qui a intercédé en leur faveur.
"Le président Abdelmadjid Tebboune m'a assuré qu'il userait de ses prérogatives constitutionnelles pour que Karim Tabbou et Samir Benlarbi retrouvent leur liberté", a déclaré M. Djilali, reçu à sa demande par le chef d'Etat algérien.