Le GIPN, une fois que les autorités en ont donné l’ordre, donne l’assaut. Le temps, dans ce type d’opération, est le facteur le plus important. Il faut agir vite, mais en sécurité.
Les otages fictifs pour cette opération n’ont pas été ménagés par les forcenés. Des fonctionnaires de la police nationale, bien décidés à ne pas se laisser faire.
Pour que l’exercice soit complet, un colis potentiellement piégé a été installé sous une voiture à proximité des deux hommes tués par balles.
Les secours ont également eu à intervenir pour accueillir les otages ayant réussi à s’enfuir durant l’assaut de l’unité spécialisée.
Mercredi 07/12/2016
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