Après une nuit de repos, c'est une Diane Bui-Duyet toujours aussi émue qui est venue se livrer mardi au délicat exercice de la confession. Les larmes coulent encore à la simple évocation de ces Jeux Olympiques de Pékin qui se dérouleront sans elle, après sa troisième place sur 100 m papillon, lundi, aux championnats de France de Dunkerque. Une course référence (59 sec 24) qui remet en question son avenir qu'elle imaginait en retrait du haut niveau mais qui pourrait au contraire se prolonger, peut-être jusqu'en 2012. Entretien.