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    Grand Nouméa
  • | Crée le 23.09.2022 à 12h00 | Mis à jour le 23.09.2022 à 15h53
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    Les salariés de Locabennes, des membres de la Fédération des Industries et services, et de l’USTKE et CNTP étaient présents, vendredi matin, devant la mairie. Photo Nikita Hoffmann
    La grève a été lancée jeudi, par la Fédération des Industries et services STKE. Ce vendredi matin, une rencontre a eu lieu entre les salariés de Locabennes, les membres des syndicats, et la mairie de Nouméa.

    En grève depuis jeudi, la société Locabennes, en charge de la propreté de la ville de Nouméa, a été reçue ce vendredi matin par la mairie. Pour rappel, ses salariés sont entrés en grève suite au lancement, le 8 septembre dernier, d’un nouvel appel d’offres, faisant craindre pour le maintien de certains employés au sein de l’entreprise, qui étaient arrivés après le précédent appel d'offres, il y a six ans. "Pendant cette période, on a étoffé l’équipe afin d’obtenir un cadre de travail amélioré. Aujourd’hui, on ne veut plus retourner à l’organisation archaïque et obsolète qui était en place il y a six ans", précisait Jean-Fidéli Malalua, secrétaire général de la Fédération des Industries et des services, ce jeudi soir.

    Des discussions fructueuses

    Vendredi, des "échanges très constructifs" sont ressortis des discussions entamées avec la mairie. "Nous comprenons les inquiétudes manifestées par les personnels, mais l’important, c’est que tout le monde ait pu comprendre dans quel cadre la ville de Nouméa avait diffusé ce marché […] les salariés auraient souhaité que 100 % du personnel soit reconduit, mais cela est juridiquement impossible (dans le cadre d’un marché en cours de consultation, nldr), et ils l’ont parfaitement compris", a indiqué Romain Paireau, secrétaire général de la mairie de Nouméa.

    De leur côté, l’équipe de Locabennes s’est sentie "écoutée" et "prise en considération", même si "forcément, en tenant compte la partie juridique, aucune réponse n’a été donnée pour le moment". Mais "le plus important, c’est qu’on ait pu communiquer nos inquiétudes sur les conditions de travail des salariés", a conclu jean-Fidéli Malalua. Des discussions seront par la suite entamées au sein de l’équipe, afin de "prendre des décisions collectives".

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