fbpx
    Référendum
  • C.G. | Crée le 12.12.2021 à 06h50 | Mis à jour le 12.12.2021 à 18h08
    Imprimer
    Vote pour le troisième référendum le dimanche 12 décembre 2021. Ecole primaire Gustave Mouchet, quartier de Montravel à Nouméa. Photo Nicolas Petit - photo Nicolas Petit
    Les électeurs inscrits sur la liste électorale spéciale peuvent s’exprimer, dimanche 12 décembre. Les bureaux de vote de la troisième consultation d’autodétermination de Nouvelle-Calédonie fermeront, pour la plupart, à 18 heures.

    L’heure est au vote. Les Calédoniens et les Calédoniennes inscrits sur la liste électorale spéciale sont appelés à s’exprimer sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie. Les électeurs doivent répondre à la question suivante : "Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ?". Ils doivent décider si oui ou non le Caillou reste dans la République française.

    307 bureaux de vote sont répartis sur l’ensemble du territoire. À Nouméa, dix sont délocalisés pour accueillir les habitants des Loyautés vivant dans la capitale calédonienne.

    Au total, 184 300 électeurs sont inscrits sur la liste électorale spéciale. Mais le taux de participation reste l’une des grandes inconnues de ce vote, avec l’appel à la non-participation des indépendantistes.

    Suivez le scrutin en direct

    18 heures – Ce direct se termine. Vous pouvez suivre les premiers résultats du référendum du 12 décembre, heure par heure, par ici.

    La majorité des bureaux de vote ferment à 18 heures. Retrouvez nos premiers articles sur le référendum dans chaque commune.

    Focus sur différentes communes du territoire lors de cette journée spéciale :

    - La Foa veut "passer à autre chose"

    - À Lifou, victoire massive de l’abstention

    - À Dumbéa, ils se sont déplacés "pour l’avenir de leurs enfants"

    - À Poya, un écart considérable entre le sud et le reste de la commune

    - Une mobilisation en demi-teinte à Païta

    - Canala, bastion de la non-participation

    17h49 – Les bureaux de vote vont bientôt fermer. À La Foa, les votants se font rares en cette fin d’après-midi. À 17h30, la participation atteignait 63 %.

    17h20 – Le Haut-commissariat de la République vient de dévoiler le taux de participation général enregistré à 17 heures. 41,60 % des électeurs ont voté. Le taux de participation a chuté de 38 points par rapport au dernier référendum. En 2020, le taux de participation de 79,63 %. En 2018, 73,68 %.

    17h15 – Pour la grande majorité, les bureaux de vote ferment dans quarante-cinq minutes. À Tiga et à l’île Ouen, ils ont fermé à 17 heures. À Nouméa, les tranches horaires ont été élargies : il est possible de voter jusqu’à 19 heures.

    Les taux de participation continuent de tomber en cette fin de journée. À Bourail, 57,03 % des électeurs avaient voté à 16 heures. À Moindou, ils étaient 52,02 %.

    Plus haut dans le Nord, 51 % des électeurs ont voté à Koumac à la même heure. C’est 40 points de moins qu’en 2020, 90 % des électeurs s’étaient déplacés.

    16h50 – Alors que la majorité des bureaux de vote ferment à 18 heures, focus sur différentes communes du territoire lors de cette journée spéciale.

    - La Foa veut "passer à autre chose"

    - À Lifou, victoire massive de l’abstention

    - À Dumbéa, ils se sont déplacés "pour l’avenir de leurs enfants"

    16h20 – À Nouméa, la participation à 16 heures s’établit à 59,4 %, en recul par rapport à 2020, où elle était de 76,4 %.

    16h00 – "C’est à base de fleurs de frangipanier. Chez nous, on dit 'potr'… Ces arbres, lorsqu’ils deviennent rouges, c’est signe que les vacances approchent"… Faute d’électeurs, l’équipe du bureau de vote de Wé, à Lifou, est aux petits soins pour faire découvrir le patrimoine local à la déléguée de la commission de contrôle de ce scrutin. Dans les bureaux de vote de Drehu, où la consigne de non-participation des indépendantistes a été appliquée à la lettre, il était parfois très difficile de trouver des électeurs.

    15h30 – A l’image de la scène politique, les bureaux de vote de Nouméa étaient coupés en deux pour le troisième référendum sur l’indépendance : dans les quartiers populaires kanak, quasiment pas un chat, dans les autres, les électeurs forment des files d’attente. "Ce référendum n’a pas trop de sens car la moitié de la population a décidé de ne pas voter. Je suis venue par civisme, ce qui m’intéresse c’est la société qu’on va construire après", confie Cathy, libraire à Nouméa. Après 45 minutes d’attente sous une chaleur écrasante, elle a pu glisser son bulletin dans l’urne, au bureau Candide-Koch du quartier mixte de la Vallée des Colons.

    Au nord de Nouméa, dans la cité populaire de Montravel, les leaders du FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste) ont visiblement été entendus. Dans la cour de l’école Gustave Mouchet où se trouvent deux bureaux de vote, à peine plus d’une vingtaine d’électeurs patientent, dans une morne ambiance, et sous la surveillance de policiers. "Ce n’est pas comme en 2018 et 2020 où c’était plein à craquer avec des drapeaux kanak partout et une atmosphère de fête", lâche un peu nostalgique Sylvia, en allusion aux deux premiers référendums où la participation avait crevé les plafonds, 81 % et 85,6 %. Les pro-France l’avaient chaque fois emportés, totalisant 56,7 % puis 53,3 % des voix.

    14h45 - Vers de nouvelles relations avec la France ? À l’aube du troisième référendum, beaucoup s’interrogent sur les nouveaux liens à construire ou retisser avec Paris. Le document sur le Oui et le Non apporte un éclairage.

    13h15 – Pas de pause déjeuner pour les bureaux de vote de l’école Koch, à la Vallée des Colons. Fluides, les files ne désemplissent pas, que ce soit pour retirer sa carte d’électeur ou voter. A midi, 390 votants sur 806 inscrits avaient déjà mis leur bulletin dans l’urne au bureau de vote numéro 16, présidé par Sacha Benisti. "On n’arrête pas depuis ce matin même si là c’est un peu la coupure", annonce-t-il alors qu’une vingtaine de personnes attendent encore. " Tout se passe très bien, nous avons une bonne organisation pour le respect des règles sanitaires, et tout le monde est solidaire avec la chaleur. De toute façon, à chaque fois qu’il y a une élection, on a un cyclone maintenant ".

    Avec 34,21 % de participation à 11h à Nouméa, soit un point de plus qu’en 2020, les chiffres lui donnent pour l’instant raison malgré une impression générale de calme sur la capitale, et notamment dans les bureaux délocalisés des îles où la participation est a contrario très faible depuis ce matin.

    » A LIRE AUSSI : La consigne du non-vote sera-t-elle respectée ?

    » A LIRE AUSSI : Francis Lamy : "Une faible participation n’est pas un motif d’irrégularité du scrutin

    13h00 – Maître de conférences en droit public à l’Université de la Nouvelle-Calédonie, Léa Havard revient en détail sur les grands enjeux de l’ultime référendum de l’accord de Nouméa : la sincérité du scrutin, la phase de transition ou encore le gel du corps électoral. " Après ce référendum, il faudra modifier le droit et imaginer de nouvelles solutions pour donner corps au projet d’avenir des Calédoniens ", déclare cette spécialiste de l’avenir institutionnel du pays.

    » A LIRE AUSSI : " L’accord de Nouméa n’aura pas disparu le 13 décembre "

    12h20Le taux de participation au référendum s’élevait à la mi-journée à 27,75 %, selon le Haut-commissariat, en très forte baisse par rapport aux deux précédents référendums, conséquence de l’appel à bouder le scrutin des indépendantistes.

    12h10 – Parole d’électeurs. La non-participation est largement suivie dans les commune indépendantistes. Nous avons interrogé ceux qui sont venus voter.

    11h15 – Dans certains bureaux de vote, l’attente est longue. A la mairie de Canala, le premier vote a enfin eu lieu aux alentours de 11 heures.


    A Canala, les électeurs sont peu nombreux à se déplacer lors de ce troisième référendum. Photo Delphine Bossy

    11h00 – Les services de l’État ont rédigé un document de 100 pages sur les conséquences du Oui et du Non en Nouvelle-Calédonie. Il apporte des éclairages sur la nationalité, l’offre de soin ou encore l’avenir de l’enseignement… Retrouvez tous nos articles thématiques.

    - L’enjeu sensible de la nationalité

    - Quels impacts sur l’enseignement ?

    - Quels effets sur l’offre de santé ?

    - Police et gendarmerie : quelle suite dans le pays ?

    - Quelles conséquences pour les deux compagnies aériennes ?

    - Quelles conséquences pour les fonctionnaires territoriaux et d’État ?

    - Quel impact sur les armées ?

    - Comment les banques voient l’après-référendum

    10h40 – Le haut-commissariat a affirmé, par voie de communiqué que "les bureaux de vote ont tous ouvert leurs portes ce matin et les opérations électorales s’y tiennent sans qu’aucun incident n’ait été signalé à ce stade". Le représentant de l’Etat a tout de même signalé qu’une "tentative de barrage routier sur un axe de l’Ile des pins a néanmoins supposé la projection de gendarmes pour y rétablir une liberté de circulation intégrale".

    10h26 – A 9h30, 231 votants sur 596 inscrits se sont déplacés à Farino. "Il n’y a pas de difference par rapport aux autres référendum. Il y avait du monde à l’ouverture et cela n’a pas diminué depuis ce matin", explique le maire Regis Roustan.

    A Sarraméa, à 10 heures, 67 personnes avaient voté, soit 12,93 % de la population.

    10h20 – A l’école du Vallon-Dore, "ça n’arrête pas depuis l’ouverture, on a dû installer les tivolis pour que les gens puissent attendre à l’ombre", indique la présidente du bureau de vote, où 21,30 % de participation était enregistré à 9 heures.


    A l’école du Vallon-Dore, les électeurs se succèdent pour ce 3e référendum. Photo Cécile Rubichon

    10h12 – Pour ce référendum, un déploiement de forces hors normes pour le jour J. Être visible, saturer l’espace, mailler le territoire… L’État a déployé des moyens sans précédent pour sécuriser les plus de 300 bureaux de vote répartis sur l’ensemble du territoire. Le dispositif sécuritaire doit permettre de répondre aux menaces de troubles à l’ordre public.

    » A LIRE AUSSI : Quinze escadrons de mobiles dédiés au maintien de l’ordre

    » A LIRE AUSSI : Un déploiement de forces hors normes pour le jour J

    10h00 – Barrage levé à l’île des Pins, la circulation rétablie. Plusieurs personnes ont dressé un barrage ce dimanche matin sur la route à l’île des Pins, au niveau de la tribu de Vao. La gendarmerie a envoyé sur l’île une équipe via un hélicoptère Puma. La situation s’est ensuite apaisée et la circulation a pu être rétablie.

    9h36 – Au bureau de vote numéro 1 de Poindimié, à 8 heures, 80 personnes sur 1140 inscrits, avaient fait le déplacement. En revanche, au bureau de vote numéro 5, à la tribu de Tyé, la première personne à venir voter est arrivée vers 8h30. "Tout est en place depuis 7h ce matin comme prévu. Les gendarmes nous ont contacté pour savoir si tout allait bien. Cette année, l’affluence est vraiment différente des deux dernières consultations. La dernière fois, dans la matinée, plus de 200 personnes avaient déjà voté. Je pense que la journée va être longue. J’espère que les gens qui votent non ne sont pas influencés par la non-participation des indépendantistes. Je pense que le message de non-participation est bien passé car il n’y a pas foule ce matin, c’était l’objectif recherché pour nous les indépendantistes", glisse Fabrice Poagnide, président du bureau de vote n°5 à Tyé.

    9h15 – Paroles d’électeurs… à Nouméa. Avant même l’ouverture des bureaux de vote, une file d’attente s’est formée devant la mairie nouméenne. Nous avons recueilli le témoignage des premiers électeurs.

    9h08 - Les pancartes, tags et autres messages appelant à la non-participant sont visibles un peu partout sur le territoire alors que les indépendantistes appelaient à respecter un "deuil" en raison de la crise sanitaire. Comme à Dumbéa ou encore à Païta, où quelques électeurs indépendantistes se sont réunis à l’entrée du village pour appeler au boycott.


    Un appel à la non-participation à Lifou. Photo Anthony Tejero


    Un appel à la non-participation au référendum à Païta. Photo Baptiste Gouret


    Un appel à la non-participation au référendum à Dumbéa. Photo Edwige Blanchon

    8h52 – A Canala, il n’y a pas foule dans les bureaux de vote… Seulement deux bulletins à Tenda Koumendi et quatre bulletins à Gelima.

    Ce n’est pas une exception, à 8h30, aucune personne n’avait voté à Tiendanite, à Hienghène et seulement cinq s’étaient déplacés à Baco, à Koné. "L’année dernière à la même heure, c’était la queue devant le bureau", affirme la première adjointe au maire de cette dernière commune.


    À Canala, bureau de vote de Gélima, très peu d’électeurs se sont déplacés depuis l’ouverture des bureaux de vote. Photo Delphine Bossy

    8h35 – Dans quel bureau de vote êtes-vous inscrit ? Si vous ne connaissez pas la réponse, rendez-vous sur le site electeur-nc.fr.

    8h24 – À Ouvéa, une heure après l’ouverture du bureau de vote installé à la mairie, et tenu par le maire de l’île Maurice Tillewa, quatre personnes seulement avaient voté.

    8h10 – A Paita, l’Arène du Sud a été transformée, le temps d’une journée, en bureau de vote. Pour " la sérénité " du scrutin et dans l’objectif d’éviter toute contamination, les bureaux de vote 1 et 2, jusqu’ici installés au Dock socioculturel, ont été délocalisés dans la salle de spectacle. 1 344 électeurs y sont attendus.


    L’Arène du Sud a été transformée en bureau de vote pour ce 3e référendum. Photo Baptiste Gouret

    8h00 – S’ils ont tous ouvert à 7 heures, les bureaux de vote ne fermeront pas forcément à la même heure :

    - Jusqu’à 17h pour Tiga et l’île Ouen

    - Jusqu’à 18h pour la majeure partie du territoire

    - Jusqu’à 19 h pour Nouméa

    7h41 Une file d’une cinquantaine de personnes s’étend devant l’hôtel de ville de Nouméa où 2292 électeurs sont attendus aujourd’hui dans trois bureaux. Masques, distanciation sociale et autres mesures sont à respecter aujourd’hui pour pouvoir mettre son bulletin dans l’urne. La maire Sonia Lagarde tient, comme d’habitude, le bureau numéro 1 pendant que dans la salle d’à côté, les services reçoivent déjà les premiers appels pour des questions administratives ou matériel. La moitié des cartes d’électeurs pour ce référendum, soit 26 500 attendent leur propriétaire aux 60 bureaux de vote ouverts aujourd’hui sur la capitale. Elles ne sont pas obligatoires pour voter, contrairement à une pièce d’identité. Au total, 52 879 électeurs sont attendus à Nouméa.

    7h35 - Alors que l’ensemble du territoire est en pré-alerte cyclonique depuis ce matin, 5 heures, le haut-commissariat " rappelle que le déclenchement de cette pré-alerte n’emporte pas de conséquence sur la circulation ni sur l’organisation du scrutin ".

    7h28 – À Lifou, le bureau de vote du faré des îles est ouvert mais il n’y avait toujours personne après vingt minutes. En attendant, on initie la déléguée de la commission de contrôle aux couronnes de fleurs de saison.


    À Lifou, on s’occupe comme on peut avant l’arrivée des premiers votants… Photo Anthony Tejero

    7h20 – A Canala, les bureaux de vote ont bel et bien ouvert, mais il n’y avait aucun assesseur dans la salle.

    7h15 – Si la question du taux de participation avec l’appel à la non-participation des indépendantistes, dans le Grand Nouméa, les électeurs répondent présents en ce début de journée. Près de 80 personnes attendent déjà à l’école Maurice Talon ou encore des centaines à l’hôtel de Ville de Dumbéa.

    Même constat également à Pouembout. "J’ai voulu venir tôt pour que ce soit rapide, je ne m’attendais pas à tant de monde. Même si ce n’est pas étonnant étant donné l’enjeu du scrutin", partage Eric, habitant de la commune.

    À La Foa, une cinquantaine de personnes faisaient la queue à l’ouverture des quatre bureaux de vote, tout situés au centre social culturel Francis Rossi.

    7h05 – A Nouméa, avant même l’ouverture officielle des bureaux de vote, une trentaine de personnes attendaient devant l’école maternelle Les Orchidées, bureau dédoublé de l’école primaire Daniel Talon, à Logicoop. Les deux bureaux rassemblent près de 1 800 inscrits. En 2020, l’attente a parfois duré cinq heures avant de pouvoir glisser son bulletin dans l’urne. À la mairie de Boulari, où le oui l’avait emporté à 70,49 % en 2020, certains étaient également là dès la première heure pour glisser leur bulletin dans l’urne.


    Avant même l’ouverture des bureaux de vote, certaines personnes faisaient la queue à Nouméa, comme ici à l’école maternelle Les Orchidées, bureau dédoublé de l’école primaire Daniel Talon, à Logicoop. Photo Julie Cateau


    Dès 7 heures, certains votants se sont pressés à la mairie de Boulari. Photo Cécile Rubichon

    7h00Les bureaux de vote sont ouverts sur l’ensemble du territoire.

    6h50 – Bonjour et bienvenue sur ce live pour suivre minute par minute le 3e référendum. Suivez cette journée de vote en direct sur le site internet des Nouvelles Calédoniennes.


    Les bureaux de vote sont vides à quelques minutes de la fermeture. Photo G.C.

    MERCI DE VOUS IDENTIFIER
    X

    Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.

    J'AI DÉJA UN COMPTE
    Saisissez votre nom d'utilisateur pour LNC.nc | Les Nouvelles Calédoniennes
    Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.
    JE N'AI PAS DE COMPTE

    Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
    Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.
  • DANS LA MÊME RUBRIQUE
  • VOS RÉACTIONS