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  • | Crée le 01.04.2019 à 04h25 | Mis à jour le 01.04.2019 à 10h03
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    L’extrême droite autrichienne au pouvoir à Vienne est de nouveau confrontée à ses zones d’ombre : le parti du vice-chancelier a été sommé de s’expliquer sur ses connexions présumées avec la mouvance radicale des « identitaires », elle-même soupçonnée de liens avec l’assaillant de Christchurch. Le parti de la liberté d’Autriche (FPÖ), allié des conservateurs du chancelier Sebastian Kurz, a tenté de désamorcer la polémique : « Le FPÖ n’a rien à voir avec les identitaires », a affirmé avec force cette semaine son dirigant Heinz-Christian Strachle, également vice-chancelier. Le Mouvement identitaire autrichien (IBÖ) est visé par une enquête pour soupçon de « participation à une organisation terroriste », après la révélation d’emails entre son leader, Martin Sellner, 30 ans, et l’Australien Brenton Tarrant. Le rapprochement est embarrassant pour le parti d’extrême droite revenu au gouvernement fin 2016 et attaché à donner une image de respectabilité, particulièrement à deux mois des élections européennes où les nationalistes espèrent marquer des points en capitalisant sur le sentiment anti-immigration dans une grande partie de l’Europe. Photo Georg Hochmuth/AFP

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