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    Pacifique
  • AFP | Crée le 17.10.2019 à 04h25 | Mis à jour le 22.10.2019 à 09h53
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    La disparition d’Amelia Earhart en 1937 fait partie des grandes énigmes de l’aviation. Photo DR
    Kiribati.Le mystère entourant la disparition en 1937 de l’aviatrice américaine Amelia Earhart reste entier, après des recherches infructueuses pour retrouver l’épave de son appareil.

    «Cet avion existe, ce n’est pas le monstre du Loch Ness et il va être retrouvé un jour. » Déçu mais pas fataliste Robert Ballard. Le célèbre chasseur d’épaves américain - celui-là même qui avait retrouvé le Titanic - est revenu bredouille de l’atoll inhabité de Nikumaroro, appartenant à la république des Kiribati, où l’appareil de l’aviatrice Amelia Earhart se serait écrasé, en 1937.

    Selon le New York Times, M. Ballard et son équipe ont mené deux semaines de recherches autour de l’île à bord du bateau d’exploration Nautilus, en utilisant des sous-marins et des drones. Malgré l’absence d’éléments, Robert Ballard pense que l’épave de l’avion sera un jour retrouvée.

    La chaîne National Geographic, qui a parrainé les recherches, doit diffuser dimanche un documentaire sur cette expédition.

    Le sort d’Amelia Earhart, pionnière de l’aviation et première femme à avoir traversé l’Atlantique en solitaire en 1932, reste un mystère 82 ans après sa disparition. L’aviatrice, alors âgée de 39 ans, avait décollé d’Oakland, en Californie, aux commandes de son bimoteur Lockheed Electra avec son navigateur Fred Noonan le 20 mai 1937 pour réaliser un tour du monde d’ouest en est.

    Le 2 juillet, ils quittaient Lae, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, pour une étape particulièrement ambitieuse de 4 000 kilomètres afin de se ravitailler en carburant sur le minuscule îlot d’Howland, un territoire américain situé pratiquement à mi-chemin entre l’Australie et Hawaï. Ils n’y sont jamais arrivés.

     

    Des ossements

    L’une des théories veut que le bimoteur soit tombé en panne sèche au-dessus de l’océan Pacifique et qu’il se soit écrasé sur Nikumaroro, alors appelée Gardner Island. Un professeur d’anthropologie de l’université du Tennessee a affirmé en mars 2018 que des ossements, du matériel et des affaires retrouvés en 1940 sur cette île correspondaient bien aux restes de l’aviatrice. Les ossements doivent faire l’objet de nouvelles analyses ADN pour tenter de conforter cette théorie, selon le Dr Erin Kimmerle, professeur d’anthropologie légale de l’Université de Floride du sud à Tampa, citée mardi par CNN.

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