- | Crée le 09.06.2020 à 12h35 | Mis à jour le 09.06.2020 à 12h51ImprimerEmmanuel Kasarhérou a été directeur du Musée de la Nouvelle-Calédonie entre 1985 et 1998, avant de prendre la tête de l’Agence de développement de la culture Kanak (ADCK) avant d’en devenir le directeur général. Il fait son entrée au Quai Branly en 2011 en tant que chargé de mission. Photo Thibaut Chapotot
Avec plus de 1,2 million de visiteurs accueillis en 2019, le Quai-Branly est le premier « grand » musée à rouvrir, à Paris. Avec, à sa tête, Emmanuel Kasarhérou, originaire de Houaïlou du côté de son père.
Lire : « Kasarhérou, “un honneur”, “un symbole” »Dès ce mardi 9 juin, le plateau des Collections permanentes, qui présente 3 500 œuvres d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques sera de nouveau accessible aux visiteurs, ainsi que les expositions temporaires « Helena Rubinstein » et « Frapper le fer ».
Visites guidées
A l'occasion de cette réouverture d'après-Covid, le Musée du Quai-Branly propose un nouveau dispositif de médiation gratuit et accessible à tous dans le respect des règles sanitaires en vigueur : des « visites flash » du plateau des Collections, en compagnie d'un guide ou au fil des récits de nos conteuses et conteurs.Si vous êtes à Paris en ce moment, le musée est ouvert de 10h30 à 19 heures, du mardi au dimanche.
Retrouvez notre entretien avec Emmanuel Kasarhérou suite à sa nomination à la présidence du Musée du Quai Branly-Jacques-Chirac.
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