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  • | Crée le 17.11.2018 à 09h57 | Mis à jour le 17.11.2018 à 15h49
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    De l'extérieur, les dégâts causés par l'incendie de cette nuit sont peu visibles. Photo : Anthony Tejero

    Dans la nuit de vendredi à samedi, le pétrolier Grete Theresa s’est embrasé au port autonome de Nouméa. L’alerte a été donnée à 2h30. 18 pompiers aidés par la Direction de la sécurité civile ont été mobilisés pour maîtriser cet incendie dont les causes sont encore inconnues.

    Une intervention « longue » qui ne s’est achevée que ce matin, vers 9h30. « C’était une opération très compliquée car il y a à l’intérieur de nombreux produits toxiques dont des hydrocarbures », indique le CTA (centre de traitement des appels). Les agents du port autonome ont posé un barrage-antipollution durant l'intervention. « Mais il ne s'est pas révélé utile. Pour l'instant, aucune fuite n'est constatée, mais nous ferons des rondes régulières durant tout le week-end pour s'assurer qu'il n'y a pas de pollution », précise-t-on au port autonome.

    Aucune victime n'est à déplorer dans l'incendie de ce bateau « régulièrement squatté » et à l'état d'abandon sur le quai Jules-Ferry depuis une dizaine d'années. A noter que le pétrolier appartient à la compagnie de transport maritime Stiles, de Louis Kotra Uregei .

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