Villes en images. Chaque mardi, retrouvez notre rubrique qui observe les communes de l’agglomération sous un angle particulier. Aujourd’hui, célébrons le demi-siècle de quelques « monuments » nouméens que des milliers de sportifs, spectateurs, élèves ou enseignants ont fréquenté. S’ils font depuis longtemps partie du paysage et des usages, tous ont connu leurs débuts, ou un tournant, en 1966.
L’incontournable stade Numa-Daly a connu des débuts compliqués, avec une construction qui s’est étirée sur près d’une décennie. Ebauché dès le milieu des années cinquante, c’est bien en 1966 qu’il est inauguré, pour les Jeux du Pacifique.
Le Sacré-Cœur devenait trop petit. Le 1er mars 1966, le collège Marcellin-Champagnat, niché dans un creux de la Vallée-des-Colons, effectuait donc sa première rentrée.
Le même jour, et dans le même quartier, un autre établissement catholique commençait son œuvre éducative. Un anniversaire que l’école Saint-Jean-Baptiste a célébré il y a un mois.
« Longtemps une salle de spectacle gérée par la FOL, rappelle le fascicule Nouméa la sportive, édité par la ville, la Jeune scène de l’Artillerie est aménagée « en 1966 en espace sportif en même temps que le PLGC ».
Il est question de fêter son anniversaire après sa fermeture saisonnière : comme pour le stade de Magenta, la piscine du Ouen Toro a été inaugurée en 1966 par l’alpiniste Maurice Herzog, le ministre des Sports de l’époque. De même que le premier bassin du Cercle des nageurs calédoniens, à l’Orphelinat.



