Villes en images. Chaque mardi, retrouvez notre rubrique qui observe les communes de l’agglomération sous un autre angle. Cette semaine, zoom sur ces bassins qui apportent un brin de fraîcheur aux quatre coins du Grand Nouméa. Qu’elles soient naturelles ou artificielles, ces petites oasis sont autant d’invitations à prendre une pause pour profiter de la quiétude de ces décors. Et observer les animaux qui les peuplent. Photos et textes : A.T, S.C et S.B
Quoi de plus agréable que de surplomber l’eau le temps d’une pause ? Sur la place des Cocotiers, passants et clients du restaurant l’Annexe profitent de l’heure du déjeuner pour observer le bassin et ses carpes colorées
Inauguré en novembre 2012 suite à d’importants travaux, le grand lac du parc forestier s’étend sur une surface de 2 200 m2 pour une profondeur d’environ 1,70 m. Cet aménagement, qui représentait une enveloppe de 133 millions, avait également permis la mise en terre de 3 000 plantes et la réalisation d’un deck long de 150 m
Au détour de la route de la Socafin, à Dumbéa, cet étang cerné de forêt et de collines est un havre de paix pour les oiseaux ainsi que pour les quelques riverains, dont les gérants de la pépinière du lac.
A Païta, au début de la piste qui mène à la Baie Toro, une sorte de marécage dans lequel baignent les niaoulis offre régulièrement un panorama fleuri des plus bucoliques.
C’est l’un des plus grands bassins de Nouméa. Aménagé en 1946 et rénové en 1996 et 1998, le lac situé dans l’hippodrome de Nouméa est le vestige d’un marécage. Aujourd’hui, les évacuations de la station d’épuration transitent par ses eaux avant d’arriver à l’arroyo.
Situé en zone de mangrove, le parc de Rivière-Salée se déroule autour d’un point d’eau qui attire bon nombre de familles, mais aussi les amateurs d’ornithologie et les membres d’associations environnementales qui ratissent souvent les palétuviers de ce secteur.



