1 > En architecture, on ne parle plus de façade, mais de « double peau ». Un terme qui date des années 1990. Mais avant, déjà, les architectes rivalisaient d’imagination pour décorer et habiller certains immeubles, comme celui du Sagittaire, qui a abrité, un temps, le consulat général du Vanuatu.
2 > Plutôt métal ou bois ? Plutôt verre ou béton ? Pour cet immeuble rue de la République, c’est du béton. Des alvéoles qui enferment.
3 > La décoration des façades est de plus en plus utilisée. En témoigne le bâtiment de l’université de Nouville. Au-delà de l’esthétique, ces doubles peaux traduisent une préoccupation environnementale. Couvrir permet un meilleur confort thermique, et moins de pollution visuelle.
4 > Ce sera du métal pour le bâtiment le plus visible du CHT à l’entrée de la ville, qui date de 2000, et qui comprenait le service des urgences.
5 > L’immeuble le Central, en haut de la place des Cocotiers, offre lui un style plus massif, en béton. Des lattes métalliques qui protègent, notamment, des regards extérieurs en ville.
6 > La façade de l’immeuble Carly, à l’entrée du quartier chinois, est identique à celle du Paris, rue de Sébastopol.
7 et 8 > Galliéni 1 et la Maison de l’étudiant, à Nouville, deux look différents qui marquent l’évolution des modes. Ca plaît ou pas, mais ça dynamise la ville et donne une identité au bâtiment.
Mardi 14/03/2017
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