A Wadrilla, le président de la République a d'abord rappelé le travail de réconciliation « lent, patient et difficultueux » en rappelant les pardons effectués entre les familles des différentes victimes à qui il a voulu rendre hommage. « Un hommage complet, un hommage pour unir. »
Photos Julien Cinier
Ce samedi matin, les gendarmes ont bloqué la route à hauteur du snack Okasika, empêchent les gens du Nord de l'île, dont des membres du collectif de Gossanah de se rendre jusqu'à la tombe des 19 militants indépendantistes.
Maki Wéa et le collectif de Gossanah ont exprimé leur opposition à ce qu'Emmanuel Macron se rende sur le monument des 19.
Les gendarmes avaient disposé une herse en travers de la chaussée.
Certains véhicules ont pu passer, après une fouille.
Le président de la République lors de la coutume à la chefferie de Wadrilla.
En compagnie de Marie-Claude Tjibaou, veuve de Jean-Marie Tjibaou.
Le cocotier planté, symbole des trente années passées depuis le drame d'Ouvéa.



