Samedi, à 7 heures, pendant qu’un café était proposé aux arrivants, derrière la maison commune, on s’activait à couvrir les bougnas qui seront servis à midi. « Certains sont là depuis 3 heures », raconte Maxime.
Après le repas, la journée s’est poursuivie dans une ambiance de fête. Des groupes de chant et de danse se sont succédé sur l’estrade ou sur la pelouse. Ils venaient de Touho, de Houaïlou, de Pouébo, de Ponérihouen ou encore de Hienghène.
Si les luminaires, la sono et quelques prises murales visibles apportent une touche de modernité, aucune modification n’a été apportée à l’architecture. Les matériaux d’origine ont été respectés et le mobilier a été rénové ou refait à l’identique.
De longues tables ont été dressées par le comité paroissial pastoral. « On avait peur que ça ne soit pas suffisant », s’inquiète Gabrièla, la présidente du comité, tandis que, de son côté, Marie trouve ça formidable. « Tout est remarquablement bien prépar



