La case, construite par des habitants de la tribu d’Oundjo, était ouverte aux enfants vendredi et aux bénévoles samedi. A l’intérieur, des panneaux explicatifs ludiques pour petits et grands.
Cette année, les jeux et les activités, autour du café ou de l’igname, étaient tournés vers l’histoire. Les explications étaient données en costumes d’époque.
Une soixantaine d’écoliers ont creusé, planté, puis signalé et paillé les billons d’ignames.
« Cette année, explique José Kabar, responsable de l’écomusée, nous travaillons comme les anciens. Les sols sont d’abord mis au repos, puis mélangés avec la paille et le fumier, avant les labours. On plante ensuite l’igname, en mélangeant la cendre et la terre. » Quand la liane sort, José plante des tuteurs appelés perches, qu’il attache au tuteur initial. « L’igname se récolte après neuf mois, c’est comme pour les mamans. »
Mardi 09/10/2018
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