Réveillon. Les pieds dans le sable, sous la table ou sur le dance-floor… À chacun son style pour célébrer la nouvelle année. Les grosses soirées organisées ont, comme à l’accoutumée, attiré un grand nombre de fêtards survoltés. Mais le traditionnel réveillon sur l’Anse-Vata, son lot de pétards colorés et de coups de klaxon enjoués, semble toujours aussi cher au cœur des Nouméens au moment de se souhaiter une belle année. Textes : Juliette Dussaut / Photos : J. D. et Cyril Terrien
Dans le parc du Château Royal, la soirée Tomorrow Island avait prévu les choses en grand avec ses 100 mètres carrés d’écrans géants et ses huit DJ invités. Et la foule présente ne s’y est pas trompée au moment de faire son adieu bondissant à l’année 2016, dans une atmosphère surchauffée.
Dans le parc du Château Royal, la soirée Tomorrow Island avait prévu les choses en grand avec ses 100 mètres carrés d’écrans géants et ses huit DJ invités. Et la foule présente ne s’y est pas trompée au moment de faire son adieu bondissant à l’année 2016, dans une atmosphère surchauffée.
À Nouville, c’est tout de blanc vêtus que les noctambules se sont retrouvés au restaurant Le 1881 pour assister aux douze coups de minuit. Mais pas seulement. Puisque les artistes aux platines ont fait danser les invités jusqu’au petit matin où ils se sont séparés, non sans avoir profité de viennoiseries et d’un petit café bien mérité.
Chapeaux pointus et serpentins obligatoires pour l’ambiance familiale de la salle Venezia, à l’Hôtel Nouvata. La soirée, placée sous le signe du Brésil, toutes plumes dehors donc, était animée par Guy Raguin. Fidèle à sa réputation, il a fait danser les convives toute la soirée. Avec une petite pause marquée sur la piste au moment du décompte, affiché sur grand écran, qui a laissé la place à une nuée d’embrassades et d’accolades.
Dans le parc du Château Royal, la soirée Tomorrow Island avait prévu les choses en grand avec ses 100 mètres carrés d’écrans géants et ses huit DJ invités. Et la foule présente ne s’y est pas trompée au moment de faire son adieu bondissant à l’année 2016, dans une atmosphère surchauffée.
Pick-up et camionnettes munis de murs de son étaient au rendez-vous sur les baies. Garés en épi toutes les quelques dizaines de mètres, il n’en fallait pas plus pour attirer de petites grappes de fêtards autour d’un petit verre et d’une danse improvisée.
À l’Anse-Vata, on croisait des noceurs en tous genres. Familles avec enfants installés sur leur natte, jeunes tireurs de pétards d’un soir, et même touristes asiatiques en goguette, venus admirer les feux d’artifice qui éclataient ici ou là. Tous ensemble pour partager la joie du moment, y compris avec les automobilistes pétaradants.
À la Fiesta, on avait pris un peu d’avance, et surtout le contre-pied de la saint Sylvestre pour honorer le moins réputé saint Roger, dès vendredi soir. Ambiance décalée, « tenue périmée exigée » et concert de la Chicorée au menu de ce rendez-vous de bons copains. Samedi, les bars de la Baie-des-Citrons ne semblaient pas connaître, en revanche, l’affluence des grands soirs.
Au Vallon-Dore, le Switch festival et son sound system démarré samedi midi se sont poursuivi toute la journée de dimanche.
Dans le cadre bucolique de ce site mondorien, les festivaliers étaient en effet invités à camper sur place afin de profiter d’un repos réparateur et d’un bon petit-déjeuner avant de retourner danser ou piquer une tête pour se rafraîchir un peu les idées.



