Les Jeux interquartiers de Nouméa en images
La première édition des Jeux interquartiers de la capitale s'est tenue, samedi, à l'hippodrome Henry-Milliard, au Val-Plaisance. Vingt et une équipes de seize personnes, huit hommes et huit femmes, se sont présentées pour représenter les différents quartiers de Nouméa. Soit 336 joueurs, qui se sont essayés à une trentaine d'épreuves. Retour en images sur cet événement.
Les équipes du Mont-Coffyn (en jaune) et de la Vallée-du-Tir 1 (en bleue) durant une épreuve alternant quiz musical et quiz tv.
Photo Gédéon Richard
Durant le Safari challenge, un parcours semé d'embûches à parcourir avant d'être relayé par un de ses camarades, ce sportif de Tina 1 s'est livré à un saut plein d'ambitions pour aller le plus rapidement possible avant de lancer son ballon sur une cible.
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Après la course, c'est l'instant de précision pour cette personne de l'équipe de la Baie-des-Citrons. Pas évident, car sur un trampoline, ses appuis sont instables.
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Au Safari challenge toujours, ce membre de l'équipe de la Baie-des-Citrons, essaie quant à lui de gagner du temps au prix d'une jolie cabriole.
Photo Gédéon Richard
Difficile de jouer au football dans ces sphères de plastique. Les contacts et rebonds entrent joueurs et les chutes sont légion, tout comme les passes mal ajustées et les tirs non cadrés. Le public, lui est par contre hilare devant l'issue aléatoire de ces parties. Ici, les équipes du Mont-Coffyn (jaune) et de la Vallée-du-Tir 1 (en bleue) font néanmoins ce qu'elles peuvent pour prendre le dessus.
Photo Gédéon Richard
Photo Gédéon Richard
Très appréciés des participants (ici Vallée-du-Tir 1), ce tapis glissant recouvert d’eau savonneuse a donné lieu à de jolies glissades. Les joueurs l'ont parcouru un verre d’eau en main pour atteindre une jauge à remplir.
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Pas évident de tenir debout sur le tapis glissant pour ces autres membres de Vallée-du-Tir 1.
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Deux garçons de Vallée-du-Tir 1 plutôt bien partis sur le tapis glissant.
Photo Gédéon Richard
Hélas, quelques mètres plus loin, c'est la chute pour l'un d'eux.
Photo Gédéon Richard
Pas davantage de réussite pour le capitaine de l'équipe, qui part lui aussi à la faute et qui perd le contenu de son vert d'eau au passage.
Photo Gédéon Richard
Le tourniquet fou, et ses barres en mousse tournantes à éviter, l’un des jeux les plus populaires auprès des participants comme des spectateurs.
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Il ne peut en rester qu'un. Sont ainsi éliminés tour-à-tour les joueurs touchés par la barre tournant ou qui, déséquilibrés, ne retombent pas sur leur plot.
Photo Gédéon Richard
Au fur et à mesure de la partie, la vitesse de rotation des barres en mousse s'accroît et le maître de jeu inverse leur sens de rotation.
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Et finalement déclarée vainqueur de la partie l'équipe dont le dernier joueur se trouve encore en jeu sur le tourniquet.
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Autre jeu populaire : un baby-foot humain, où six joueurs s'affrontent dans une structure gonflable. Ici, Tindu (en noir) et Receiving (en rose) s'affrontent.
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Plusieurs épreuves de créations artistiques, baptisées "fils rouges", ont permis aux équipes (ici Orphelinat 2) de grappiller quelques points. Durant les repêchages, il s'agissait ainsi de réaliser une maquette en allumettes à l'effigie des 10 ans de l'inscription des lagons au patrimoine mondial de l'Unesco.
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Durant les demi-finales, le fil rouge imposait de réaliser une œuvre en pâte à modeler sur le thème Nouméa ma ville. Ici l'équipe Orphelinat 1 en plein travail.
Photo Gédéon Richard
Future gagnante, l'équipe de la Vallée-du-Génie est à l'ouvrage. Impressionné par la qualité des créations, le jury a décidé de conserver les différentes pièces créées, qui feront ultérieurement l'objet d'une exposition.
Photo Gédéon Richard
Impressionné par la qualité des créations, le jury a décidé de conserver les différentes pièces créées, qui feront ultérieurement l'objet d'une exposition.
Photo Gédéon Richard
L'ensemble des pièces réalisées feront ultérieurement l'objet d'une exposition.
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Tindu et Receiving se sont de nouveau retrouvés pour une course dans des sacs de jute.
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Pas évident pour certains de se coordonner et de trouver une technique adéquate.
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Parmi les épreuves artistiques, un concours de tressage a vu les équipes (ici Orphelinat 2) tenter de réaliser des objets en feuilles de cocotier à partir de thèmes tirés au sort.
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Mention spéciale à l’ambiance assurée dans les gradins par les familles Naran, Le Garrec, Antin, Lelong, Hons et Blum, qui sont venues en nombre pour donner de la voix, applaudir et encourager les jeunes représentants de Logicoop.
Longtemps bien placés aux repêchages, les jeunes de Logicoop n'ont finalement pas passé le cut et échouent aux portes de demi-finales.
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Non sans avoir joués du forceps, ici contre l'équipe d'Orphelinat 1.
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Très disputés, les bras de fer n'ont pas manqué de beau gestes de sportivité et de sourires.
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Durant les changements de jeux, les équipes ont profité de quelques instants pour reprendre leur souffle.
Photo Gédéon Richard.
La traversée d’une piscine a donné lieu à de sacrées cabrioles et a laissé tous les participants trempés. Ici, l’équipe Rivière-Salée 2 fait tout son possible.
Photo Gédéon Richard
Rares sont les personnes a n'avoir pas terminé cette épreuve autrement que trempées.
Photo Gédéon Richard
Certaines ont toutefois parcouru de bonnes distances avant de finir dans l'eau.
Photo Gédéon Richard
Si l'agacement a pointé le bout de son nez dans l'esprit de quelques-uns, le côté rafraîchissant a rapidement remis le sourire sur toutes les lèvres.
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A la mi-journée, durant le temps de déjeuner, quelques jeunes danseuses du programme danse ma ville ont proposé une chorégraphie.
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Reprise après une demi-heure de pause repas, les seize équipes encore en lice sont revenues sur le terrain pour disputer les demi-finales.
Photo Gédéon Richard
Autre épreuve : le basket aquatique, où en affrontement direct, où les joueurs doivent traverser un bassin juché sur un boudin avec un ballon en moulin, avant d'essayer d'inscrire un panier. Ici un joueur de la Baie-des-Citrons tente un shoot.
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Retour sur le tapis glissant pour l'épreuve de glissade bidon, il s’agissait de glisser le plus loin possible sur le ventre.
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Peu visible depuis les gradins de l'hippodrome, certains passages sur le tapis glissant ont été retransmis sur un écran géant, pour permettre au public de suivre.
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Ce jeu à également occasionné quelques brûlures au ventre, mais rien de bien grave toutefois.
Photo Gédéon Richard
Très fair-play, ce joueur en rouge d'Orphelinat 1 est allé serrer la main de chacun de ses adversaires à l'issue de cette épreuve.
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Plus classique, la course de pneus avec un bâton a également été bien appréciée du public.
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Alors que certains ont poussé leurs pneus avec des bâtons, d'autres s'en sont servies comme d'un axe, les deux techniques étant admises.
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Epreuve phare d'Intervalles, le mur des costauds était bien entendu proposé. Ici, l'équipe du Motor Pool (en violet) est opposée à celle du Centre-Ville (en vert).
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Pour certains, il a été bien compliqué de grimper le mur à la seule force de ses bras, les jambes croisées et sans pousser sur ses genoux.
Photo Gédéon Richard
Des tribunes, certaines épreuves se sont avérées plus visuelles que d'autres. Pour guider le public, Mathias Balagny, organisateur des jeux mandaté par la ville et Simane Wénéthem étaient aux commentaires, micros en main, et des équipes vidéos retransmettaient des épreuves sur un écran géant.
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Parvenues jusqu'en finale, les team Vallée-du-Génie, Anse-Vata, Multiquartiers et Tina 1 ont abandonné leurs couleurs pour revêtir des costumes différents à chaque nouvelle épreuve. Pour la première, deux candidats se sont retrouvés déguisés en cerf.
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Dans cette nouvelle variante du tourniquet fou, quatre joueurs de la Vallée-du-Génie et de l'Anse-Vata ont dû attraper des peluches, tandis que le barres en mousse continuaient à tourner, et les lancer à leur équipier déguisé en cerf, qui devait ensuite les amener jusqu'à un enclos.
Photo Gédéon Richard.
Autre variante du tapis glissant, le jeu "Eteindre un feu" consistait une nouvelle fois à franchir ce parcours glissant, mais en affrontement direct, pour remplir une jauge le plus haut possible dans un temps imparti.
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L'occasion de rappeler que chaque année, 27 000 hectares partent en fumée dans des feux de forêts, soit six fois la superficie de Nouméa.
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Le quiz de logique qui a suivi a été remporté par l'équipe de la Vallée-du-Génie.
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Hommage à l'hippodrome construit par les Américains et modernisé par la ville en 1998, la coupe Clak a offert une parodie de course hippique avec obstacles à franchir.
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Sous les déguisements, deux équipiers formaient des chevaux et portaient un jockey sur leurs épaules.
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L'épreuve suivante, le message de James Lapérouse consistait à trouver un mot à l'aide d'une longue-vue permettant d'observer un dessin dans les tribunes.
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Charge ensuite aux membres des équipes de Tina 1 et Vallée-du-Génie de le déchiffrer et de franchir un parcours le plus rapidement possible une lettre après l'autre en main.
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Le capitaine ont également dû se mouiller.
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Pendant que leurs matelots tentaient de reconstituer le mot en question, sans faire de faute d'orthographe.
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Déguisés en bagnards, les joueurs ont fait de nouveaux tours du Safari challenge, avec des boulets en guise de ballon pour atteindre la cible.
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A la fin de leur parcours, les forçats passait sous une arche portant l'inscription "I love life". Tout un symbole.
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Juchés sur des chevaux gonflables rebondissants et déguisés en Tonton Marcel, les candidats ont ensuite dû ramasser des balles à ramener le plus vite possible dans leur camp.
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Pour l'ultime épreuve, une course des bus en bambou et de tissu à porter en courant les jambes liées en binôme, les scores ont été réinitialisés.
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Et c'est finalement l'équipe de la Vallée-du-Génie qui s'est imposée, franchissant en tête la ligne d'arrivée.
Photo Gédéon Richard
Constituée d'une bande d'amis inscrits à la dernière minute, l'équipe de la Vallée-du-Génie n'avait pas fait le moindre entraînement ni la moindre préparation. Elle célébrait par ailleurs l'anniversaire d'un de ses membres : Jean-Philippe Maruchet.
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