Série. Ma Maison, tenue par les Petites Sœurs des Pauvres, au Faubourg-Blanchot, est un symbole. Mais l’institution reste discrète. Elle ouvre ses portes pour une suite de reportages. Premier volet consacré à son histoire.
La statue de Saint-Joseph, qui est le protecteur de la congrégation. « Il nous donne ce dont on a besoin. Parfois, on n’arrive pas à payer des factures et hop, on reçoit un don », témoigne sœur Malia.
Monseigneur Fraysse a donné le terrain où se trouve Ma Maison aux Petites Sœurs des Pauvres.
Ma Maison en 1902.
Ma Maison aujourd’hui, après une rénovation en 2003.
La première pierre de la chapelle, qui jouxte Ma Maison a été posée en 1901.
Les onze premières sœurs sur le perron de Ma Maison. Elles se chargeaient de tout, de l’entretien, de la cuisine, mais aussi d’animer des ateliers et de promener les résidents dans le jardin.
Les repas se prenaient en commun.
Ernest Baoue, le conducteur des sœurs, les accompagnait en voiture là où elles devaient se rendre.
L’âne, qui tirait la carriole, participait à la quête.
Une photo du mont Sainte-Marie, avec Ma Maison qui surplombe, en haut à droite.
Des photos de résidents à l’époque, accompagnés des sœurs.



