Chaque mardi, retrouvez notre rubrique consacrée aux communes de l’agglomération vues par le petit bout de la lorgnette. Aujourd’hui, les automobilistes de Nouméa et de Dumbéa font face pratiquement tous les jours aux différents travaux du futur Néobus. Les chantiers sont nombreux et vont durer encore longtemps, alors même que le premier bus ne rentrera en fonction qu’à partir de 2019. Texte : Gaëlle Grès / Photos : G.G., Julien Cinier et Jacquotte Samperez
Iris et Danielle, deux médiatrices du Néobus, vont à la rencontre des habitants depuis juin pour les informer des chantiers en cours. Comme ici, à côté du collège de Koutio, où la barrière du parking a été décalée pour faire place à la ligne du Néobus. Quatre chantiers sont en cours à Dumbéa.
Parmi eux : la ligne qui passera devant le Médipôle jusqu’au pont des Erudits en construction. Déjà bien avancée, cette zone sera prête en premier. Elle servira d’ailleurs d’exemple pour le projet.
Au Mont-Dore, il faudra attendre encore un peu avant de voir passer le Néobus, dont l’arrivée est prévue au mieux pour 2024. Peu de travaux devraient être réalisés à Boulari, puisque l’une des voies actuelles de l’avenue des Deux-Baies sera utilisée exclusivement pour le bus.
À Nouméa, le principal chantier se trouve au rond-point de Rivière-Salée. Les travaux se sont accélérés avec le début de la construction d’un second pont, au niveau de l’Anse-Uaré.
En plus des médiatrices, la Secal, en charge des travaux, a mis en place près d’une vingtaine de « corners d’information », comme à la mairie de Nouméa. Ces présentoirs, installés fin août et début septembre, proposent de la documentation.



