Ville en images. Chaque mardi, retrouvez notre rubrique qui observe les communes de l’agglo par le petit bout de la lorgnette. Souvenirs d’une époque pour les uns, énigmes pour les autres, les enseignes disparues et autres panneaux obsolètes continuent d’exister dans le paysage qui ne cesse lui de se transformer. Retour en images sur des moments d’histoire, figés par ces panneaux abandonnés.
1 > Si c’est une blague, elle n’est pas du meilleur goût, notamment pour les touristes qui seraient tentés de se laisser guider par ce panneau à Plum. Car après plus d’une heure de route, aucun bateau, hôtel ou restaurant, fermés depuis belle lurette, ne les accueillera. Seule consolation, les paysages valent le coup d’œil.
2 > Elle était leader sur le marché de la téléphonie mobile il y a 20 ans à Nouméa. Si l’enseigne Phalco a disparu, l’un des cinq anciens magasins, situé rue du Sémaphore (centre-ville), rappelle encore cette histoire aux Nouméens.
3 > Qui se souvient du Ver de bancoule, le journal gratuit créé à la fin des années 90 par Bernard Deloison, également papa du journal... Le Gratuit, qu’il a vendu en 1992 au groupe Jeandot. On peut encore apercevoir le panneau rue du Port-Despointes (Faubourg-Blanchot).
4 > Tous Cagous ! Une affiche qui perdure près du Monument américain (Quartier-Latin) alors que les XVes Jeux du Pacifique sont bien finis. Et qui sera peut-être changée avec les prochains Jeux de 2019 ?
5 > Une belle liste de panneaux, mais combien sont toujours d’actualité ? Route de Nondoué, des signalisations ne sont pas au goût du jour. La maison de retraite Le Havre n’existe plus. Le restaurant du golf, le Green, a brûlé il y a plus de cinq ans, bien qu’un snack l’ait remplacé.



