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    Grand Nouméa
  • Gilles Caprais | Crée le 20.12.2020 à 18h50 | Mis à jour le 20.12.2020 à 19h25
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    L’usine du Sud reste à l’arrêt. Photo Yann Mainguet
    Après s’être rendu sur place ce dimanche, le président du gouvernement a annoncé la prochaine levée du Plan particulier d’intervention (PPI) déclenché le 8 décembre à la suite des tensions autour du site industriel de Goro, qui reste à l’arrêt.

    "Les risques industriels graves, comme une fuite d’acide ou une pollution aux hydrocarbures, ont été écartés. Je suis rassuré par les mesures mises en œuvre", a déclaré Thierry Santa, qui ne voit désormais "plus de nécessité" de maintenir la cellule de crise de la Sécurité civile (DSCGR), à Nouméa. Une cellule similaire est en revanche maintenue à l’usine du Sud, et reste en lien "24 heures sur 24" avec la DSCGR.

    Si les forces de l’ordre sont toujours présentes sur l’usine du Sud, où "deux barrages" sont toujours actifs, "la situation est quand même largement apaisée", estime le président du gouvernement, qui a constaté un calme relatif sur place, quatre jours après la désapprobation publique, par le FLNKS, des incendies déclenchés lundi à Goro.

    L’usine reste toutefois à l’arrêt et le redémarrage "ne se fera pas du jour au lendemain". Outre les semaines nécessaires aux opérations techniques, la solution viendra d’un "accord politique", insiste Thierry Santa. À ce sujet, le groupe Leprédour, qui réunit État, loyalistes et indépendantistes, doit se réunir mardi soir.

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