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    Nouvelle Calédonie
  • P. Ch. | Crée le 27.02.2023 à 09h10 | Mis à jour le 27.02.2023 à 14h06
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    "À part le retrait du texte, je n’ai pas entendu d’autre proposition constructive pour régler le problème du déficit du Ruamm", lance le patron de l’Éveil océanien. Photo Nicolas Petit
    Le projet de loi présenté par l’Éveil océanien pour sauver le régime maladie de la Cafat concentre les oppositions. Avant la manifestation de mardi, demandant le retrait du texte, nous avons interrogé Milakulo Tukumuli sur sa méthode et ses intentions.

    Le projet de loi présenté par l’Éveil océanien propose entre autres l’instauration d’un taux de cotisation unique, 13,5 % pour l’ensemble des travailleurs indépendants, libéraux et patentés. En contrepartie, le texte prévoit qu’ils bénéficieraient de la même couverture maladie que celle des salariés.

    Mais une bonne partie du monde économique, syndicats patronaux et salariés, jusqu’aux chambres consulaires, est vent debout contre l’augmentation de ce taux de prélèvement qui entraînerait selon eux la perte de nombreux emplois.

    Les opposants à cette réforme ont même personnalisé cette bataille par la diffusion sur les réseaux sociaux de témoignages au mot-clé éloquent : "Stop Tukumuli".

    Face à l’ampleur de la grogne, des professionnels comme des politiques, puisque le gouvernement ne semble pas être d’accord sur l’ensemble des points du texte, notre première question adressée à Milakulo Tukumuli a été celle-ci : " allez-vous maintenir ce texte, afin qu’il soit présenté au Congrès en mars, comme prévu ? "

    La suite en vidéo.

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