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  • AFP | Crée le 04.07.2018 à 04h25 | Mis à jour le 04.07.2018 à 05h38
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    L’entrée de Marouane Fellaini, auteur d’un but, a eu un impact déterminant sur la rencontre. Photos AFP
    huitième de finale. La Belgique, menée 2-0 jusqu’à la 69e minute, a su trouver les ressources pour venir à bout du Japon dans les arrêts de jeu (3-2) et retrouver le Brésil en quart.

    Ils avaient promis qu’on ne leur referait plus le coup après la mésaventure de l’Euro 2016. Deux ans après le traumatisme gallois, et 24 heures seulement après la leçon espagnole, les Belges ont réussi à assumer leur statut de favori face à des Nippons tout proches de réaliser l’exploit après s’être qualifiés pour le 2e tour grâce à la règle du fair-play aux dépens du Sénégal.

    Mais comme lors du huitième de finale du Mondial 2014 remporté après prolongation face aux Etats-Unis (2-1, a.p.), ils ont affiché une fébrilité inquiétante... D’entrée de jeu, le Japon a joué sans complexes pour montrer à la pléiade de stars belges que rien ne serait simple. Les « Samouraïs bleus » ont profité des espaces béants laissés par l’ambitieux dispositif belge en 3-4-3, notamment sur les côtés lorsque Meunier et Carrasco, plus ailiers que latéraux, n’assuraient pas leur repli défensif.

    En seconde mi-temps, la passivité belge a été sanctionnée. Sur une sublime passe de Shibasaki, Haraguchi a profité d’une hésitation de Vertonghen pour battre Courtois (48e, 1-0). Quelques minutes plus tard, Inui lâchait une incroyable frappe des 20 mètres hors de portée du gardien belge (52e, 2-0).

     

    Chadli en sauveur

    Pour la « génération en or » des Hazard, Mertens, Mertens et Kompany, le temps des regrets n’était pas encore arrivé. Grâce à un but heureux de Vertonghen (69e, 2-1), à la réception d’une chandelle japonaise, les « Diables rouges » se sont mis à y croire. Après avoir multiplié les coups de boutoir, l’entrant Fellaini a égalisé de la tête cinq minutes plus tard (74e, 2-2). S’ils pensaient devoir se contenter de la prolongation après avoir manqué une nouvelle grosse occasion, les Belges ont finalement arraché la qualification sur la dernière action du match.

    Sur une relance rapide de Courtois, De Bruyne a initié un contre supersonique, transmis à Meunier qui a immédiatement centré pour Lukaku. Maladroit jusqu’ici, le buteur belge a astucieusement laissé passer le ballon entre ses jambes pour permettre à Chadli d’inscrire le but de la victoire (90e+4). Et de la délivrance.

    Les Belges ont eu très chaud. Ils reviennent de l’enfer et sont prêts à défier le Brésil samedi matin à à 5 heures à Kazan.

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