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  • Gédéon Richard | Crée le 29.06.2021 à 13h35 | Mis à jour le 29.06.2021 à 14h53
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    Sur place, le capitaine Sylvio Loquet, chef de corps des sapeurs-pompiers de Koné et de Pouembout, espère une "réduction significative des fumées", d’ici mercredi. Photo Gédéon Richard
    Les sapeurs-pompiers et le Sivom VKP travaillent de concert pour réduire la quantité de fumées toxiques qui s’échappent de la décharge publique de Kataviti, à Koné, victime d’un incendie criminel.

    Quatorze agents s’affairent, en ce moment même, au Centre d’enfouissement technique (CET) de Koné.

    Après l’incendie criminel qui s’est déclenché, dimanche soir, sur le site, la Direction de la sécurité civile et de la gestion des risques (DSCGR) est arrivée, en renfort, ce mardi matin.

    Si les flammes ont été circonscrites, le feu couve toujours sous le massif de déchets ménagers.

    Sivom VKP, Pacifique environnements, sapeurs-pompiers de la Koné et de Pompiers, sécurité civile et mairie coordonnent leur action, pour réduire les fumées qui se dégagent de l’incendie et qui sont étendues de Pouembout à Ouaco (Kaala-Gomen).

    Deux camions de lutte anti-incendie, deux camions d’apports de terre et deux pelleteuses sont à l’œuvre au dépotoir.

    Un centre d’accueil a été ouvert par la mairie de Koné, à la salle Au Pitiri, pour accueillir les habitants des quartiers Kataviti, Filaos, Fomboana et Bellevue, qui seraient importunés par les fumées ou les odeurs.

    Retrouvez un point complet sur la situation dans les pages pays de notre prochaine édition.

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