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    Santé
  • | Crée le 30.11.2021 à 01h09 | Mis à jour le 30.11.2021 à 14h21
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    En attendant l’arrivée d’une nouvelle médecin biologiste en janvier 2022, le Pr Thomas Freour a rejoint l’équipe du Dr Deschanet (à droite) au centre d’Assistance médical à la procréation du CHT. Photo M.C.
    Une cinquantaine de couples ont pu reprendre leur traitement contre l’infertilité, interrompu pour certains d’entre eux depuis 18 mois.

    La nouvelle était attendue par une cinquantaine de couples depuis 18 mois : le centre d’Assistance médicale à la procréation (AMP) du Médipôle reprend du service. Le centre avait subi de multiples arrêts en 2021 avant de devoir arrêter ses activités en mai 2021 après le départ du médecin biologiste pour des problèmes de santé.

    Depuis le début du mois de novembre, le professeur Thomas Freour, est venu apporter son expertise pour permettre le redémarrage de l’activité d’AMP au CHT. Il a notamment permis à environ 50 couples qui étaient en attente depuis de 18 mois de bénéficier d’une fécondation in vitro (FIV), en attendant l’arrivée d’une nouvelle médecin biologiste en janvier 2022.

    Le professeur Thomas Freour est médecin biologiste de la reproduction, professeur des universités à la faculté de médecine de Nantes et chef de service de l’unité d’Assistance médicale à la procréation (AMP) au CHT de Nantes.

    Son service d’AMP à Nantes est un centre pionnier dans la prise en charge des couples hétérosexuels infertiles, des couples homosexuels de femmes et ainsi que de femmes seules dans le cadre d’un désir d’enfant.

    Le Pr Freour a également été membre de la commission médicale consultée par l’Assemblée nationale pour l’élaboration de la loi du 2 août 2021 relative à la bioéthique.

    Conférence à l’UNC le 7 décembre

    Cette loi permet aux femmes seules et aux femmes homosexuelles en couples d’accéder à l’AMP et donc de concevoir un enfant à l’aide de sperme issu d’un donneur.

    Cette loi autorise aussi les femmes à conserver leurs ovocytes par cryo-conservation pour les utiliser ultérieurement, afin de pouvoir être mère à un âge ou la fertilité diminue, c’est-à-dire dès 35 ans.

    Le professeur Freour animera une conférence suivie d’un échange avec la salle le mardi 7 décembre à 19 heures en l’amphithéâtre 400 de l’Université de Nouvelle-Calédonie.

    Cette conférence aura pour objet d’expliquer l’AMP et les nouvelles possibilités de la loi relative à la bioéthique (procédures à suivre, modalités de traitement de la FIV, délais d’attentes pour avoir du sperme de donneur, anonymat du donneur ou encore les impacts psychologiques pour les couples, les femmes seules ou les enfants issus de ce traitement).

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