L’Athalaï a eu une vie mouvementée. La goélette a appartenu au gouverneur de Fidji, à la Royal Navy, à une société métallurgique japonaise… Arrivé en Nouvelle- Calédonie en 1920, le bateau a servi à faire des relevés hydrographiques mais aussi à assurer la traversée Melbourne-Tasmanie. Après un naufrage, il fut vendu à la société japonaise, qui lui fait opérer le Tour de côte. En 1935, il a été mis entre les trois autres bateaux déjà abandonnés à Moselle.

Deux formations ont remporté le prix des jeunes artistes. Axel, de Bourail, avec Quotidien calédonien, et Elisabeth et Jacqueline, du lycée des Îles, avec Mon Choix.

Une partie des 400 marins de la Royal Australian Navy à bord du HMAS Adelaide. Le croiseur, équipé de plusieurs canons, surpassait largement en puissance de feu le Dumont D’Urville, navire français loyal à Vichy, alors à quai à Nouméa. Il y avait été envoyé pour contenir d’éventuelles velléités de rejoindre la France libre.

Créé en décembre 1934, l’Aéro-club Henri-Martinet n’a pas pris une ride. L’association l’a montré tout le week-end dans son hangar de l’aérodrome de Magenta pour des portes ouvertes désormais bisannuelles. « Ça nous permet de répondre aux questions des petits et des grands, de voir que l'aviation fait toujours rêver , explique son vice-président. Yann Renevier-Faure. Et de faire connaître l'aéro-club, association qui n'est pas subventionnée et qui recherche toujours des élèves pilote et des soutiens financiers »